Lansargues, pays de bouvine

Ici, pas de fête sans taureaux, que ce soit pour le 14 juillet ou la fête votive qui dure neuf jours au mois d’août.

Taureaux dans les arènes

Lors des courses camarguaises, des hommes, les raseteurs, affrontent des taureaux, les cocardiers.
Enjeu, s’emparer de la cocarde, un petit ruban rouge maintenu par une ficelle entre les cornes du taureau.

Du Trophée de l’Avenir au Trophée des As, le niveau s’élève pour mettre en présence les meilleurs raseteurs et les cocardiers les plus célèbres, devenus plus redoutables course après course, année après année.

Les jours de course, les chars des manadiers (camions à bestiaux des éleveurs de taureaux) et de nombreuxvéhicules stationnent aux abords des arènes. Dès la fin de la course, tous dégagent l’avenue Grasset Morel pour faire place aux gardians (cavaliers).

Taureaux dans les rues

Lors des abrivados et bandidos, des gardians à cheval escortent au galop quelques taureaux depuis les arènes vers le char ou vers les prés (bandido) ou dans le sens inverse (abrivado). Bravant les risques, les attrapaïres tentent de faire échapper les taureaux.

À moins d’être familier de ces manifestations, il est impératif de se tenir à l’abri des barrières, à un poste d’observateur et de respecter les conseils de prudence affichés tout au long du parcours.

Cet avertissemnt vautaussi pour les encierros, taureaux libérés pendant une demi-heure environ dans un espace fermé par des barrières (pendant la fête votive au mois d’août, c’est la place du village).

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